Si le genre romanesque connaît un essor en France à la Renaissance, cela tient largement à la circulation des textes et aux réseaux de production et de diffusion rendus possibles par l’activité des imprimeurs-libraires. Secondés par les traducteurs, ces derniers livrent au public des œuvres médiévales françaises, des textes étrangers plus récents et des créations d’auteurs contemporains. Par les textes sélectionnés et la version initiale choisie, par la langue-cible adoptée et par le dispositif (...)