Une fois n’est pas coutume, je me permets d’employer la première personne sur Panurge, sans fard ni prosopopée.
J’ai récemment eu l’occasion de parler de mon livre sur France Culture et cette expérience a suscité chez moi quelques réflexions sans doute un peu tardives.
La communication de mes recherches devrait être une préoccupation plus constante de mon travail. J’aurais pu, par exemple, choisir un titre moins scientifique, moins sibyllin, moins "cryptique" (je cite un ami historien et médiéviste (...)