Présentation
Le paysage anthropomorphe a pris à la Renaissance des formes extrêmement soutenues et variées : depuis l’inclusion dans les rochers, les racines et les nuages de motifs anthropomorphes plus ou moins cachés ou potentiels (fin XVe-XVIe siècles), jusqu’à une tradition de têtes-paysages (fin XVIe - XVIIe siècles) faisant coïncider un visage avec la totalité de l’image.
Ce colloque, réalisé à l’occasion de l’exposition « Une image peut en cacher une autre » aux Galeries nationales du Grand Palais, (...)